" Et si c'était toi, qui rendais le monde plus beau ? " |
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Socrate |
" Maître à penser " des enfants du 21ème siècle. |
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AVEC MON CHIEN TOUT EST SIMPLE
Avec mon chien tout est simple
Il ne rate jamais d'aller se promener avec moi.
Il prend toujours plaisir à respirer l'air frais vivifiant.
Il est toujours de bonne humeur, même si moi je ne le suis pas.
Il n'est jamais contrarié, sauf quand je le laisse seul.
Il prend toujours plaisir à partager mes activités.
Il exprime verbalement sans retenue une invasion de son territoire.
Il exprime sa joie de me revoir après une séparation en utilisant l'expression corporelle.
Il mange toujours de bon appétit, même si c'est le même menu tous les jours.
Il fait une sieste quand il est fatigué
Il s’étend le matin avant de se lever
Il s’investit tous les jours dans des activités ludiques
Il est loyal. Il ne prétend pas être quelqu’un qu’il n’est pas
Il exprime ses sentiments sans ambiguïté et veut me les communiquer
Il est persévérant dans ses actes. (surtout lorsqu'il s'agit de déterrer un os)
Il ne s'énerve pas quand je m'énerve.
Il n'est pas un fanatique du bronzage.
En conséquence il boit beaucoup d'eau et cherche de l'ombre pendant les grandes chaleurs.
Il ne boude pas.
Il ne se culpabilise pas s'il fait une bêtise.
Il n'a pas peur d'affronter les expériences de la vie.
Il adore faire de nouveaux amis.
Il ne me juge jamais.
Il exprime par son regard un amour inconditionnel. »
HISTOIRE DE L’ECOLIER
Un tout petit enfant s'en allait à l'école. Ses parents lui avaient dit : Vas-y !... » Il tâchait d'obéir : Mais son livre dans son cartable était lourd. il ne pouvait pas courir. Il se mit à pleurer, et suivit des yeux une abeille qui volait. |
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« Abeille, lui dit-il, veux-tu me parler? - Non, dit-elle, j'arrive et je suis très pressée. |
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Elle s’enfuit et se perd sur la route embaumée. Le frais lilas sortait d'un vieux mur entr'ouvert. Il saluait l'aurore, et l'aurore charmée du parfum de lilas, se montrait sans nuage et riait de l'hiver. Une hirondelle passa, elle effleura la joue de l’écolier qui etait triste de jouer seul . |
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« Oh ! bonjour hirondelle ! dit l'enfant, qui se souvenait d'elle, « J’aimerais bien, répondit la voyageuse, |
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L’enfant reste muet, et, la tête baissée, il rêve et compte ses pas pour tromper son ennui.
Quand son livre s’échappe de sa main et tombe auprès de lui. Un chien l’observait du seuil de sa maison : Socrate, le gardien fidèle et prudent à la fois. De peur d’effrayer l’enfant, il retient son aboiement. Hélas ! peut-on crier contre un enfant qui pleure ? |
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- Ecolier ! vois-tu ce laboureur aux champs ? |
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L'enfant l'écouta dire ; Et même il lui fit un bisou. Son livre était moins lourd. En quittant le bon chien, il pense, il marche, il court ;
L’espoir d’être homme un jour lui ramène un sourire. A l'école, un peu tard, il arrive gaiement.
Et dans les mois qui suivirent, il lisait couramment.
CONTE BERBERE Il était une fois un jeune berger appelé Vrivouch, qui emmenait praire son chevreau. Mais un jour, le chacal lui subtilisa. Arrivé chez lui, il fut battu par la vieille maîtresse de maison, car elle lui reprochait de ne pas s’être occupé de son animal. Alors, furieux, notre jeune garçon refusa de dîner. - A présent, veux-tu enfin dîner ? - Non, répondit le jeune garçon. Elle s’adressa vers un bâton et lui dit : - oh, bâton, viens corriger Vrivouch qui refuse de dîner parce qu’il a perdu son chevreau !
Le bâton lui infligea le même refus. - Vous,oh les flammes, brûlez ce bâton qui refuse de frapper Vrivouch qui refuse de dîner parce qu’il a perdu son chevreau Elle s’adressa à l’eau : - Toi eau, veux-tu éteindre le feu qui refuse de brûler ce bâton, qui refuse de frapper Vrivouch qui refuse de dîner parce qu’il a perdu son chevreau Elle se tourna vers les animaux et dit :
- Hé Taureau, bois cette eau qui refuse d’éteindre ce feu, qui refuse de brûler ce bâton, qui refuse de frapper Vrivouch qui refuse de dîner parce qu’il a perdu son chevreau - Toi couteau, dit la vieille, viens tuer ce taureau qui refuse de boire l’eau qui refuse d’éteindre ce feu, qui refuse de brûler ce bâton, qui refuse de frapper Vrivouch qui refuse de dîner parce qu’il a perdu son chevreau - Oh forgeron, cria-t-elle, brise cette lame qui refuse de tuer le taureau qui refuse de boire l’eau qui refuse d’éteindre ce feu, qui refuse de brûler ce bâton, qui refuse de frapper Vrivouch qui refuse de dîner parce qu’il a perdu son chevreau
- Non, lui dit-il Elle s’adressa au rat :
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